Amel Bent все тексты (слова) песен, переводы, видео, клипы

Petite Sœur,
Je connais ta peine et ta douleur,
Les places qu'elles prennent dans ton cœur,
J'étais la même Petite Sœur,
Petite Sœur...

Je te vois regarder par la fenêtre,
Comme si c'était moi,

J'ai 20 ans
J'ai la vie dont toute le monde rêve, sous le feux des projecteurs,
toujours le sourrire au lèvres

J'ai 20 ans,
Dans un monde où l'amour crève,
je m'accroche à mes valeurs sans jamais demander de trève
J'aurai toujours 20 ans,

A trop t'aimer,
A trop vouloir te passionner dans notre histoire.
A trop rêver
Ou a trop y croire,
Je m'inventais de faux espoirs.
Pour toi ce n'était qu'un jeu
Et tu n'y voyais rien de serieux.

Au café des délices

Tes souvenirs se voilent
Ça fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis

Tu sais,
Tu pourrais nous offrir
Tout l'or d'un empire,
Nous n'en ferions,
Pas moins semblant
Nous pourrions leur dire
Qu'on s'aime et sourire
Nous mentirions toujours autant,

Ты знаешь,
Ты мог нам предложить
Всё золото империи,
Мы не сделали этого
Тем не менее казалось
Мы могли ему сказать
Что мы любим друг друга и улыбаться
Мы лгали всегда

Tu sais,
Tu pourrais nous offrir
Tout l'or d'un empire,
Nous n'en ferions,
Pas moins semblant
Nous pourrions leur dire
Qu'on s'aime et sourire
Nous mentirions toujours autant,

Loin des yeux, loin du coeur
On s'habitue à tout
Mais il y a de ces douleurs,
qu'on garde toujours en nous
C'est fou comme j'ai grandi
Et avancé sans toi
Ton absence me déchire
J'ai trop besoin d'un papa

Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil
De la fin du jour
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique, surtout Schumann
Et puis Mozart

comme tous les soirs je pense à toi
je me demande ce que je fous là
seule dans ce grand foutoir
comme tous les soirs je pense à toi
mais vas tu rentrer tard
comme tous les soirs je ne sais pas
d'ailleurs chaque soirs qui passe
est un soir qui nous sépare

Ils disent que je suis incapable
D'être une adulte raisonnable
Que je joue de tout
Et la musique je la respire
Sans jamais me soucier du pire
Et de tout, je m'en fous
Moi quand je ne rêve pas

C'que je vais te dire, n'est pas facile,
C'est toujours plus dur quand on aime,
J'ai pesé le pour et le pire,
Mais avec toi c'est toujours pareil,
Tu dis que tu nous aime,
Que moi c'est pas comme elle,
Alors pourquoi tu n'es pas le même,
A chaque fois qu'elle t'apelle???

Risin' up, back on the street
Did my time, took my chances
Went the distance, now I'm back on my feet
Just a man and his will to survive

So many times, it happens too fast
You change your passion for glory
Don't lose your grip on the dreams of the past

Risin' up, back on the street
Did my time, took my chances
Went the distance, now I'm back on my feet
Just a man and his will to survive

So many times, it happens too fast
You change your passion for glory
Don't lose your grip on the dreams of the past

Forte Сильная

Dans la vie d'un homme
Y a toujours une femme qui apporte
Les mots qui lui donnent
Le courage d'affronter les autres
Même à tout âge et toutes les couleurs
Sur son visage on lit la même peur

J'ai l'impression que trop de choses ont changé
Moi qui croyais que le premier serait le dernier
tout ça c'est fini (j'arrête de parler )
je reprends ma vie (où elle s'est arrêtée)
Je ne t'attends plus je te laisse derrière moi
Et même si on ne se voit plus
je n'ai pas mal je pense à moi
je n'attends plus rien de nous j'ai tiré un trait sur tout

J'ai trop souvent versé des larmes
Et passé des nuits à attendre

Que le destin me donne les armes
Et le courage de me défendre
Face aux gens qui me condamnent
Qui me jugent et qui me blâment
Votre morale ne me fait plus rien

C'est tant de sang versé pour rien
Trop de larme au nom de quoi
Cette force que l'on a dans les mains
Et que l'on gache à chaque fois
Le désespoir s'en va
Je baisse les bras
Quand mon coeur et mon âme saignent
Je repense à ceux que j'aime

Je sais que vous l'imaginiez,
Beaucoup plus belle.
Elle, beaucoup plus frêle,
Elle, oh

Je sais que vous la préféreriez
D'un autre age,
Un peu plus sage

Tombée du nid
J'atterris dans tes bras,
Tombée du lit
Quand tu n'veux plus de moi
Tu promets, tu jures
Tu fais le serment parfois
Mais de moins en moins sûre
Quand l'anneau glisse de ton doigt

Maman j'ai mal, Maman je souffre
Je ne sais vers qui me tourner
Pour m'aider à sortir du gouffre
Dans lequel la vie m'a jeté
Maman j'ai peur, Maman je brûle
Hier le ciel m'était offert
Aujourd'hui le monde bascule
Je vis tous les feux de l'enfer

Amel, Amel!

Je suis chaque jeune, fille ou garçon
Le coeur plongé dans son rêve, pour moi la chanson
Les mêmes étincelles dans les yeux
Et le même voeu

Je suis chaque rue, et ses quartiers

Tu dis que j'te fais du mal
Mais j'men rends même pas compte
Dans ce cas je plaide coupable
Je ne veux plus q'on s'affronte
Tu dis que j'sui folle,Que tu m'trouves bizarre
Que je t'aime pour de faux, que je t'aime au hasard

refrain:

Entends-tu le monde?
Vois-tu tous ces gens?
Qu'on laisse dans l'ombre
Apeurés, effrayant

Faut que tu reviennes
Pour que tu les soutiennent
Toi qui leurs manquent tellement

Львица истекает кровью...

Давай, попробуй еще
Ты хотел меня догнать
Но я ничего не почувствовала
Я – боец
То, что я видела вчера
Ты проживаешь сегодня

Petite Sœur,
Je connais ta peine et ta douleur,
Les places qu'elles prennent dans ton cœur,
J'étais la même Petite Sœur,
Petite Sœur...

Je te vois regarder par la fenêtre,
Comme si c'était moi,

Le mal de toi Больна тобой

Je t'ai quitté
Ai-je eu raison
De bâillonner mon cœur
Écouter mon intuition
J'dis pas que tu m'aimes pas
Juste pas assez

J'aime tes mots doux
Et ton sourire
Tes regards flous
Que je suis seule à lire
Avec un rien
Tu compose ma vie
Tout ses refrains
Qui parles de nous a l'infini

Les temps qui courent

Dans la rue autour de moi, autour de nous
Y'a tous ces combats, ces détresses
Ces vies qui n'en sont pas
Y'a tant de questions de tous les jours
Par les temps qui courent

Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Malgré tout ce qu'on me dit
Je reste le poing levé
Pour le meilleur comme le pire
Je suis métisse mais pas martyre
J'avance le coeur léger
Mais toujours le poing levé

Моя философия (перевод Сергеева Елена из Москвы) i

Je n'ai qu'une philosophie
Etre acceptee comme je suis
Malgre tout ce qu'on me dit
Je reste le poing leve
Pour le meilleur comme le pire
Je suis metisse mais pas martyre

Je n'ai qu'une philosophie
Etre acceptee comme je suis
Malgre tout ce qu'on me dit
Je reste le poing leve
Pour le meilleur comme le pire
Je suis metisse mais pas martyre
J'avance le coeur leger
Mais toujours le poing leve

Je n'ai qu'une philosophie
Etre acceptee comme je suis
Malgre tout ce qu'on me dit
Je reste le poing leve
Pour le meilleur comme le pire
Je suis metisse mais pas martyre
J'avance le coeur leger
Mais toujours le poing leve

Toi, ma terre
de mon père et de ma mère
un goût amer
me surprend quand je pense au vert
de tes figuiers et a ton front de mer

Refrain:
Moi je chante fière de mes racines

Je n'ai qu'une philosophie
Etre acceptee comme je suis
Malgre tout ce qu'on me dit
Je reste le poing leve
Pour le meilleur comme le pire
Je suis metisse mais pas martyre
J'avance le coeur leger
Mais toujours le poing leve

Une histoire qui tombe à l'eau
Quelques mots sur ton piano
C'est fini
C'est toute une vie
Qui s'assombrit
Je l'ai vu dans ton regard
J'ai senti ton désespoir
A quoi bon

Une histoire qui tombe à l'eau
Quelques mots sur ton piano
C'est fini
C'est toute une vie
Qui s'assombrit

Je l'ai vu dans ton regard
J'ai senti ton désespoir

Casé dans des cases
Fiché sur des fiches
Aux discours de bases
Et frond sur la fiche
Même si y'en a marre
sans juger personne
Y'a qu'a seulement voir les clichés qu'on donne

Ooooh
Chanter,
Chanter pour se dessiner un monde
C'est pas si loin le temps
Où je m'en allais,
Errer, pour sentir les mélodies
Qui m'inondaient d'espoir,
Je chantais pour oublier

Le pardon commence
Où s'arrête la rancune
Il prend tout son sens
Quand il se mêle à l'amertume
Il nécesssite du courage
déchire mais pourtant soulage
Anéantit les outrages
Illumine les visages

Petite Soeur,
Je connais ta peine et ta douleur,
Les places qu'elles prennent dans ton Coeur,
J'étais la même Petite Soeur,
Petite Soeur...

Je te vois regarder par la fenêtre,
Comme si c'était Moi, comme si j'étais dans ta tête,

Je n'ai qu'une philosophie
Etre acceptee comme je suis
Malgre tout ce qu'on me dit
Je reste le poing leve
Pour le meilleur comme le pire
Je suis metisse mais pas martyre
J'avance le coeur leger
Mais toujours le poing leve

Chanter,
chanter pour se dessiner un monde
C'est pas si loin le temps
ou je m'en allais,
Errer, pour sentir les mélodies
qui m'inondais d'espoir,
Je chantais pour oublier
tapis dans l'ombre,

J'ai pas l'âme en peine
Pas le cœur gros
Je crois que je t’aime
J’mets du sourire
Partout dans les mots
Je crois que je t’aime

Non je n’me reconnais pas

Tu serais fier si tu me voyais
Je ris je pleure, je suis apaisée
La vie et moi tu sais
Ce n'est plus vraiment si compliqué
Mais je suis si seule et
J'ai besoin de toi pour avancer

Je ne veux pas vivre sans toi

Si quelqu'un te demande
Dis que tu ne sais rien
Ma vie est une série
Qui n'a pas de fin
Tu me trouves trop conciliantes
Oui je le sais bien
J'essais de rester souriante
Ça maquille les chagrins

Если ты меня слышишь
Там, куда ты убегаешь от всего
Если ты меня слышишь
Знай, что я не ничто без нас
И когда я боюсь
Я могу дрожать только внутри
И даже, когда я плачу
Я скрываюсь чтобы хранить мою честь

Signes

Que te dit ton coeur, lui qui ne demande qu'à voir
Au-delà des leurres, des fruits du hasard
Il est des mystères, des songes qui parfois t'égarent
Comme en une prière, il suffit de croire

Quel est le visage qu'adoptera ton destin

Tu n'es plus là...

Où est l'épaule sur laquelle j'me reposais
La présence chaude que mon corps aimait serrer
Où est passée la voix qui répondait à mes questions
L'autre moitié de moi sans qui j'perdais la raison

"Tu Nes Plus La"

Où est l'épaule sur laquelle j'me reposais
La présence chaude que mon corps aimait serrer
Où est passée la voix qui répondait à mes questions
L'autre moitié de moi sans qui j'perdais la raison

Quand le jour me réveille

Tu veux ou tu veux pas
Tu veux c'est bien
Si tu veux pas tant pis
Si tu veux pas
J'en f'rai pas une maladie
Oui mais voilà réponds-moi
Non ou bien oui
C'est comme ci ou comme ça

Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Malgré tout ce qu'on me dit
Je reste le poing levé
Pour le meilleur comme le pire
Je suis métisse mais pas martyre
J'avance le coeur léger
Mais toujours le poing levé

Je ne voulais pas y croire pourtant
Tu le sens et moi je sais (moi je sais)
Qu’on ne peut arrêter le temps
Vivre dans le passé

Peu importe à qui la faute
Quand la vie sépare nos chemins
Et sans faire du mal à l’autre