Julie Zenatti все тексты (слова) песен, переводы, видео, клипы

Je ne suis pas si fière de ça
De ce que je suis, je ne m'en veux pas
Je ne suis pas ce qu'on veut de moi
J'engage des pensées que j'enferme
De belles manières pour qu'elles se perdent
Pour oublier qu'elles m'ont fait mal

Mais à quoi ça sert, D'être quelqu'un d'autre

Она не проста
Она неподатлива
А я хрупка
И не приспособлена
У неё свои причины
И свои сезоны
А у меня свои страсти
Страхи и тюрьмы

C'est moi qui sonne, dans l'sac posé
là-bas
Au pied du fauteuil, c'est moi qui
tremble
Si c'est pas moi ça me ressemble
C'est moi qui sonne, dans l'sac posé
là-bas
Au pied du fauteuil, c'est moi qui vibre

Ce qu'il reste de moi
C'est ce qu'il m'reste de toi
Un bague, une fleur
Pour pas que je pleure

Tu me laisses encore dans la tête
Des allures de fête
Tu me laises là

Comme un printemps

Как весна

Tu m'as prise sous ton aile
Me protège, m'émerveille
Et me guide tout droit
Vers mon soleil

Les anges de l’artifice
Ont peint dans le décor
Mes notes et mes caprices
Dégradés rouge et or.
Passe par les coulisses,
Il est temps que je sorte,
Tu verras comme je glisse,
Fragile dans mon corps.

Tu sais déjà ce qui m’attend
Je m’avance
En regardant derrière moi
Je sais que tu es là
A chaque pas, à chaque instant
Si je pense
Que je me perds en chemin
Je sais que tu es là

Je vais te guider ne sois pas étonné
Je suis une brune, un peu colorée
J’ai déjà aimé, j’ai essentiellement pleuré
On pourrait dîner, tu pourrais rester
Je suis jolie, même démaquillée
Je suis maladroite, mal en mer, mal parfaite, mal peignée
On va gagner du temps sur les préliminaires,
C’est pas la vie en rose, mais j’sais je peux te plaire

Dans ces villes on se bat
Dans ces villes
On l?che son histoire
Contre un reflet d'espoir
Dans ces villes on se noie
Dans ces villes
Il y a tant de croix
Mais tant qu'ils n'y croient pas

Sous le maquillage
Que dessine l'amour
Est-ce que j'aurais le courage
De plaire encore un seul jour
Si ce n'était pas lui
Tout ces mots qu'on a bu
Est-ce qu'on me dirait 'oui'
Ou l'ivresse a-t-elle disparu..?

Tant de chose, tant de chose encore, encore
Il y a des lunes si belles
Et d'autres qui dérangent
Des matins au pluriel
Aux aurores qui s'échangent.
Il y a des lunes toutes rondes
Qui nous ouvrent les yeux
Mais tout au bout du compte

Que tu sois blonde, que tu sois rousse
Tu n'empêcheras jamais les méchantes mousses
Ni les virus fatals que le vent pousse
Comme une caresse sur ta frimousse

Comment chanter quand tout l'monde tousse ?
Et que la vie fébrile nous éclabousse
De son besoin d'amour, de ses secousses

Quand tout est fragile
Quand il n'y a plus de repères
L'air est si épais à couper au couteau
Quand je ne touche plus terre
Quand je ne trouve plus mes mots
Je veux voir courir les chevaux

Retrouver le gout, les couleurs

Un endroit de bonheur
Où ton coeur s'éclipse
Comme en apesanteur
Tu es libre

Du courage dans les nuages
Jusqu'aux étoiles
Pour trouver à ton rêve

Ce soir encore, je ferai ce qu'il faut
Ma solitude portera des couleurs vives
Mon sourire ainsi pourra suivre
Fais-moi confiance, fais-moi confiance

Personne ne remarquera
Non, personne ne remarquera
Pas même elle, pas même elle

On nous apprend de l'âge tendre
A réagir à nous défendre
Pour moins souffrir
On nous apprend à être fort
A résister au coup du sort
Et à mentir
Nous surmontons bien des tourments
Mais il nous faut souvent du temps

Comment elle fera la France sans France et Jojo ?
Comment elle danse, danse le rock et le slow ?
Comment elle fera la France pour soigner nos bobos ?

Chacun vit un peu dans sa bulle
Ici on s’habitue à tout
Et quand nos avancées reculent
On ferme les yeux, on baisse le cou

Мужчина-сестра

À toi, qui par ta presence
A su combler leurs absences
À toi qui m’offre la paix
Quand je leur declare la guerre

Inconsolable

Je ne suis pas si faible que tu crois
Je fais juste celle qui ne voit pas
Mais je li dans tes sourires
Comme dans un livre ouvert
Et je te vois partir
Sans pouvoir rien y faire

8) J'ai croisé le diable

Continuez, le monde ne mourra pas
Par manque d'innocents
Mais par manque d'innocence
Oh, continuez, vous avez raison
La liberté, c'est n'jamais demander pardon
Continuez, ne changez

Est-ce que l'bonheur
C'est un matin de coeur
Un temps sans heure
Qui défilerait par erreur
J'en Doute

Peut-être une saison
Unique odeur des îles

Tu pourras penser
Que j'te sers à rien
T'as beau t'agiter
Mais moi, je sais
Tu pourras faire comme si déjà en toi
Tout passait comme si rien n'avait existé

Hey, je te manque

Мне хотелось бы чтоб ты меня утешил
Взял меня в свои руки...
Ты умеешь как никто другой
Находить слова каждый раз.
Мне хотелось бы чтоб ты утешил меня
Чтобы я больше не печалилась
И чтоб ты сказал мне немного по-мужски
Чтобы растолковал мне...

Je voudrais une chanson

Мне хотелось бы песню
Je voudrais une chanson
Qui tiendrait dans la main
Elle me suivrait partout
Au travers des saisons

J'laisse entrer la lune et sa lumière blanche,
Qu'elle éclaire ton corps
De ton cou à tes hanches,
Je rougis des pensées qui me traversent,
Ces pensées qui te regardent
Et qui me perdent

Et m'enivrer a ta beauté,

L'amour suffit

Les aveux, pour sauver sa peau
quand s'annonce la fin du parcours, on en a fait le tour
Les histoires, qui parlent de héros
quand les pages de vie s'effeuillent, on en as fait le deuil
dommage, que le temps ne soit qu'un naufrage
et qu'on ne le comprenne que lorsqu'il est trop tard

On reste sur le quai
A voir passer la vie
Parce que l'amour se fait
De serments et d'oublis
FidГЁle l'horloge martГЁle
AttirГ©e par l'espace
Sans divisions d'erreurs
De secondes qui menacent

En scène,
Comme deux figurants.
Coeurs défigurés,
Par la boxe du temps.
On aggrave nos peines,
De rêves sans talent.
On disperse nos graines
Dans le décor blanc

Selon la mythologie,
Jadis, les hommes vivaient sans femmes
Ne connaissaient ni fatigue ni vieillesse, ni souffrance
Zeus donna naissance à une créature du sexe féminin
Parée de tout les dons
Belle, intelligente, rusée, futée et désirable
Mais Pandora, c'est son nom, ouvre les Jars,
De ce vase jallit la souffrance, la mort, le vol et puis le crime

Souvent d'accord avec les autres
Pas très raccord avec elle-même
Elle voulait qu'on l'aime
Souvent changeante et déroutante
Les grandes colères sous la tendresse
Toujours trop en faire
Un peu seule sans trop l'avouer
Envie d'envoyer tout valser

Un départ, un voyage,
Tirer le fil de ses choix
Quand le hasard du bel âge
Ne suffit plus au pourquoi
Suivre les paysages,
Laisser le vent blesser la falaise,
S’éloigner des rivages ...
Trouver ce qui apaise

La vie fait ce qu'elle veut
Pour te dire les mots
Que tu espères
Ces mots de velours
Qui vont te plaire
Pour devenir celle
Que tu attends
J'ai mis du temps

La vita e poi

Mi sento sempre più vicina
Da poco tempo. Tu vedrai
Nel silenzio del cuore mio
L’inizio della storia mia
Io sono nata per fuggire
così l’amore sarà bello

Quand on te voit sur ta monture
Quelle allure et quelle stature,
Un vrai modèle de droiture,
Une force de la nature

Ou bien n'es-tu qu'une raclure,
Un animal de luxure
Qui court à l'aventure?

Je demande audience au paradis
Qu'on m'annonce auprès du Père
Je n'ferai pas de révérance au Saint - Esprit
Je n'veux pas d'intermédiaire
Qu'on m'éloigne de moi ces anges et ces archanges
Il n'faut pas qu'on nous dérange

Ma demande, demande est celle des hommes qui veulent connaître le sort du monde

On a passé l'épreuve des années d'insouciance
Sans trop de cicatrices, on en garde le vertige
On assiste au marriage de nos premiers amis
On a entendu dire les enfants ont grandi

Le bonheur a sa place, au bord de nos yeux
Certaines peines ont aussi déposé quelques traits
Et le sourire aux lèvres on évoque notre enfance

Lis dans mes pensées

On ne m'a pas appris
A aimer
Tout ce que je suis
J'ai du l'inventer
On ne m'a pas permis
De pleurer

Lis dans mes penses

Прочти в моих мыслях

On ne m’a pas apprit à aimer
Tout ce que je suis j’ai du l’inventer
On ne m’a pas permit de pleurer
Tout ce que je suis me fait vaciller

Ma douleur est un cheval,
Je le monte à cru sans rênes,
Je le mets au pas
Quand il galope.
Je lui montre qui le mène,
Ma douleur est une salope.

Ma douleur est un menteur,

Ma douleur est un cheval,
Je le monte à cru sans rênes,
Je le mets au pas
Quand il galope.
Je lui montre qui le mène,
Ma douleur est une salope.

Ma douleur est un menteur,

Mon ami pour la vie Мой друг на всю жизнь
Maintenant je sais
Il y'a quelqu'un qui m'aime vraiment
Quelqu'un qui maintenant me comprend
Je n'ai pas peur
Car plus rien dans tout l'univers
Rien ne pourra nous éloigner

Juste un léger détour,
un chemin de campagne,
ou notre belle histoire d'amour,
s'est bu comme du champagne,
sur de l'herbe en velours,

Juste un petit discours,
Qui mène au bord des larmes,

On efface

On peut trouver ailleurs
Un peu de passion
On sais que tout passe
Sans illusion
Il reste cette envie
D'amour en absence

Pars sans rien dire

Tu t'es fâché avec le temps
Tu t'essouffles à contre-courant
Sur cette place
Un cœur paumé dans cette ville
Ton corps bat la mélancolie

Je donnerai mon âme
A l'enfant que tu voulais
Je donnerai mes larmes
Au regard que tu avais
Je donnerai la flamme
Au souffle que tu portais
Je donnerai les larmes
Aux batailles qui nous perdaient

Pour y croire encore
Чтобы снова в это поверить
Tu avances encore sans même savoir
S'il te reste un bout d'histoire
Et tu fuis tous les miroirs
Tu as peur de te revoir
Au temps béni de tes matins
Quand la vie embrassait tes mains

On avance encore sans même savoir
S'il te reste un bout d'histoire
Et tu fuis tous les miroirs
Tu as peur de te revoir
Au temps béni de tes matins
Quand la vie embrassait tes mains
Un jour l'amour devient ce messager
Qui fait grandir ton passé

(Tango) Princesse

(Un, dos, tres, cuatro)
Je suis une princesse
Je suis une princesse
Je suis une princesse

Une robe assassine

Dans ma boite à musique
Des rêves endormis dans la soie
Ecorchés à force de destin

Se souvenir d’un sourire qui fait du bien
Qui nous rappelle d’où l’on vient
Même à vif, je me souviens

Dans ma boite à musique
Des rêves endormis dans la soie
Ecorchés à force de destin

Se souvenir d’un sourire qui fait du bien
Qui nous rappelle d’où l’on vient
Même à vif, je me souviens

Courants d'air
Ou pluie de cristal
Sur mes joues se perlent
Mon corps vol? par les ?toiles
Toile de ma?tre o? j'ai pos? ma voile
Je vois dispara?tre, toi, le temps et finalement

Si bas

Je suis le fruit d'une blessure
Le souffle d'un trop long combat
Dans le silence et sans injure
J'ai grandi dans des draps de soie

Je suis née sans éclaboussure
Regardez-moi, rien ne se voit
Je n'en serai jamais trop sûre

Si le temps me le permettait
Oh, je serais près de toi
On passerait des jours ensemble
Assises sous le même toit
Si le temps me le permettait
J'aurais le choix
Le sort si capricieux
Ne nous voit même pas

Поздний вечер,
Как это мило,
Бульвары
Ночной Париж
Прекрасная Франция
Ставим пари на удачу
Направление здесь
Намечено заранее.

Un jour j'ai vu voler un ange
Ce danseur s'appelait Nouriev
Parce qu'il y a des hommes qui changent
Une simple vie en rêve

Que ce monde est beau
Quand on suit son cœur
Que ce monde est grand

Demande à la lune
Si elle pleure encore
Demande au soleil
S'il fait froid dehors
Demande aux étoiles
Qu'elles m'éclairent plus fort
Qu'une cathédrale
Quand le monde s'endort

Une grande rousse aux yeux verts (Pierre-Yves Lebert / Asdorve)
Je suis une grande rousse aux yeux verts,
Non fumeuse et je suis toujours célibataire.
Je gagne, un assez gros salaire.
Je déteste la campagne et j’adore me distraire.
Mais je cherche un mari,
Alors je mets en fiche,
Toutes mes mythiques envies,

Венеция 2037.

Венеция,
Раскачиваясь и вращаясь, погружалась
Тихо в темную воду,
Дворцы убегали
Большие кричащие птицы,
Как тонущие корабли,

Venise,
Tanguait roulait s’enfonçait
Tout doucement dans l’eau noire,
Des palais s’enfuyaient
De grands oiseaux criards,
Comme dans un paquebot qui sombre,
On devinait des ombres.

Larme de peine, larme de sang
Larme sacrée depuis
Le début des temps.
Ecoutez-moi, allez aux quatre vents

Et dîtes les peines, dîtes les maux
De tous ces enfants
Qui n'ont que des mots

Venezia

Venezia,
Venezia come un transatlantico
Nell'acqua nera
Staccava dai palazzi all'ombra della sera.
Come una dea
Idea che affondo