Les Charlots все тексты (слова) песен, переводы, видео, клипы

La nature n'est plus c'qu'elle était
On nous a changé l'eau de nos rivières
Nos lacs ressemblent à des marais
Le mot "potab'e" est plus sur l'dictionnaire
Et il paraît qu'faut faire attention
L'environnement fait la bise aux égouts
Mais moi sans vouloir donner d'leçons
J'ai un p'tit truc qu'est efficace comme tout:

-Alors...?
-Alors quoi ?
-Raconte-nous ! Il est venu chez toi...
-Ouais !
-Pour manger avec toi...
-Ouais ouais !
-On n'arrive pas à croire ça !
-Normal !

Au Pays Des Pesetas

Adios Paris et les usinas
Adios les rues embouteilladas
Nous allons au pays des fiestas
Au pays des gi-gi des tans-tans
(Au pays des gitans)
Adios les fins de mois peniblas

La boîte était pleine à craquer,
Quel pied, quel pied (quel pied quel pied)
Il f'sait plus chaud que dans l'métro,
C'est trop c'est trop (c'est trop c'est trop)
Une nana passe dans mon orbite,
Je m'dis j'vais lui faire voir ma...
(Bon sang c'que c'est fort la sono !!!)
...ma façon de danser le slow

Bonjour, et bien aujourd'hui comme hier et certainement comme demain, c'est le drame paysan qui s'est déroulé il y a deux nuits en plein coeur du Berry qui alimente les gros titres de la presse mondiale. Nous vous rappelons qu'après une vie de labeur exemplaire Marcel Filippelli a brutalement craqué. Mais pour plus de précisions voici l'interview qu'a recueilli pour vous Emile Sarrus notre envoyé spécial.

5 heures du mat'
Le réveil sonne
Debout là dedans,
Je s'coue Bobonne
Sautant du lit le visage tout froissé
La Marie fonce dans les WC.

Rincez bien les oreilles : elle est dure de la feuille...

Le notaire de Saint-Malo
Voudrait bien marier sa fille
Mais elle sourde comme un pot
A part ça elle est gentille.

Il l'a fait venir à Paris

Il s'est levé à mon approche
Debout, il était bien plus p'tit
Je me suis dit c'est dans la poche
Ce mignon-là, c'est pour mon lit
Il m'arrivait jusqu'à l'épaule
Mais il était râblé comme tout
Il m'a suivie jusqu'à ma piaule
Et j'ai crié vas-y mon loup

Henin-Lietard

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J'ai quitté mon vieux village
Pour monter à Paris
J'habite au dernier étage
D'un HLM exquis

Hey Max!
Hey m'quitte pas comme ça dis!
M'dis pas qu't'as plus soif toi, hein?

Hey Max!
On va s'en boire encore un p'tit, hein?
Hey just' un p'tit quoi, hé t'en mourras pas va.

Si je bois ? Affirmatif
Que de l'eau...
-Qu'est-ce qu'il tient !
Minérale ! Affirmatif
-Il est plein !
De la Vichy ? Affirmatif
De l'Évian, du Perrier ? Affirmatif
Avec un doigt de…

J'irai revoir la Normandie
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Quand revient le temps des vacances
Et qu'on peut sortir de chez nous (promenade...)
C'est sous le beau ciel de la France
Que j'aime passer le mois d'août (ja schön...)
Je prends la Marne (ha!) et puis Paris (ha!)

Je dis n'importe quoi j'fais tout ce qu'on m'dit
Mais je m'en fout je gagne pas mal de radis
Quand j'irai dans mon berry natal
J'm'achet'rai tout plein d'cheval
Et j'planterai mes choux ... pas pour vous
Comprenez-moi

Je dis n'importe quoi j'fais tout ce qu'on m'dit

Je suis beau gosse c'est la nature
Qui a dessiné mon portrait
Je suis beau gosse j'ai de l'allure
Je plais, je plais

Dans la rue tu le vois toi-même
Reconnais que c'est incensé
Les yeux des filles me disent je t'aime

Un peu très sale, elle a l'air d'un munster
Qui se fait la malle, son cheveu sent la bière
Et le gras
Tout se débine sous sa gaine tendue
Elle est bovine, les nibards descendus
Avec ça
Tellement poubelle, elle sent fort
Tellement poubelle, elle sent tellement si fort

Où diable où court tu si vite
Jean le tonnelier
Je m'en vais travailler
De mon beau métier
Au château de bonnecuite
Je vais mettre en train
La barrique de vin
Livrée ce matin

Un matin, je le sais bien, ça va nous arriver, (tudu tudu…)
Nous irons main dans la main, tous les deux faire le marché. (tudu tudu…)
Nous achèterons du chou, de la farce et des oignons. (aaahh…)
Et si la chance est avec nous, nous trouverons un beau citron

Pour faire du chou farci, (c'est bon, c'est bon, c'est bon…),
Du chou farci comme nous deux on l'aime (du chou farciii…),
Avec un bon hachis (c'est bon, c'est bon, c'est bon…),

Avec ma gueule de pauvre mec
De paysan au profil grec
Qu'aurait eu comme un accident

Avec mes yeux tout désaxés
Qui me donnent l'air de regarder
Mes deux oreilles en même temps

Le trompette en bois
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Il y avait une fois quoi, quoi, quoi
Une poupée de velours qui devenait folle d'amour
Pour un p'tit soldat d'bois qui ma foi
Qui faisait avec fit aucun geste d'homme avide
Il tenait une trompette mais il ne jouait jamais rien

Ne croyez pas que superman c'est un mot américain
En vérité c'est un mot là qui vient tout droit de l'alsacien
Je le sais bien qu'à la NASA j'ai un cousin germain
Il s'appelle Herman c'est un garçon qui n'a jamais faim

Comme il n'voulait jamais manger
La mama devait toujours lui répéter (O sole mio !)
Accidente povr' ragazzo ché c'è ascoltame

MERCI PATRON!

Quand on arrive à l'usine
La gaieté nous illumine
L'idée de faire nos huit heures
Nous remplit tous de bonheur
Nous allons d'humeur joyeuse
Et courrons vers la pointeuse

(il veut faire tee-pee ah quel beau tracas)
(il veut faire tee-pee ah quel beau tracas)
-Chef ! Chef ! Chef ! J'ai envie de faire pipi ! Chef !

Son grand-père s'app'lait faucon comme un balais
Au beau temps des bisons au temps des calumets
Il avait hérité de ce bel emplumé
Des rytthmes des tambours, des danses sacrées

Adesso vi racconterò
Una storia molto bella
Mica tanto
Molto bella
Mica tanto
Molto bella

Mica tanto Quando mi accorsi che ogni notte lei

Un beau matin de juillet, le réveil
A sonné dès le lever du soleil
Et j'ai dit à ma poupée "Faut te s'couer
C'est aujourd'hui qu'il passe"
On arrive sur le boulevard sans retard
Pour voir défiler le roi d' Zanzibar
Mais sur-le-champ on est r'foulé par les agents

C’est étrange,
je n’sais pas ce qui m’arrive ce soir,
Je te regarde comme pour la première fois.

Encore des mots, toujours des mots
les mêmes mots
Je n’sais plus comment te dire,
Rien que des mots

PAULETTE LA REINE DES PAUPIETTES

On a parlé d'amour et de violettes,
Mais jamais d'amour et de paupiettes;
Pourtant je connais à Barcelone
Un hidalgo qui chante à sa bonne,
Tous les soirs à l'heure du dîner
Ce chant d'amour bien gratiné:

Je connais une enfant
Pleine de talent
Douce et câline
Qui aime la pine

Tous les mercredis soirs
Elle vient me voir
Derrière l'usine

Tout doucement
elle arrive à m'filer les glandes, c'est dément
Tout doucement
l'envie me vient de lui shooter dans les dents
Tout simplement
lui arranger l'sourire à coup d'barre de fer
et puis lui faire bouffer l'annuaire
je l'aime encore, mais plus vraiment

D'chez l'coiffeur sortant l'autre semaine
Où je m'étais fait raser le menton
Dans la rue je rencontre une ancienne
Qui m'embrasse et me dit tu sens bon
Moi très flatté du compliment
Je lui réponds fort galamment

Pétronille tu sens la menthe

Toute la semaine j'ai travaillé
Pour le bifteck j'en ai sué
Mais le dimanche jour du Seigneur
Je laisse tomber ma musette
C'est la java des coeurs

Viens Bobonne sur le gazon
Ce soir je me sens polisson